Il m’a écrit deux jours après, disant que j’étais une fille bien, qu’il avait de la chance de me connaître.
Il a dit qu’il partait au Japon pour une semaine, puis aux Etats-Unis. Il m’a écrit pendant ces séjours. J’ai répondu courtoisement à chacun de ses mots.
Il m’a dit qu’il se caressait souvent en pensant à moi. Sous la douche. Dans son lit. Qu’il bandait en pensant à moi.
Je l’ai vu à la télévision parler de son livre. J’ai vu ses livres dans les librairies, j’ai pensé à lui. J’ai laissé passer du temps.
Après l’été, il a voulu me voir. J’ai accepté. Il était heureux de me revoir. J’ai vu son regard qui souriait de bonheur lorsque j’ai ouvert la porte. Je n’ai rien dit. J’ai regardé ses yeux comme on regarde une bouche avec envie. Il m’a embrassé à pleine bouche, longuement. Il a posé sa main sur mon sexe à travers la longue jupe que je portais. Mon sexe était nu sous ma jupe. J’ai continué à l’embrasser. Il a continué à me caresser. Il a écarté les lèvres de ma chatte avec ses doigts à travers le tissu. J’ai mouillé.
Je l’ai emmené sur le lit. J’ai ôté le haut de mes vêtements à cheval sur sa cuisse. Il a caressé mes seins. J’ai branlé sa queue avec mes seins. J’ai caressé son torse avec mes seins. J’ai caressé sa cuisse avec les lèvres mouillées de mon sexe. J’ai regardé ses yeux comme j’aurai regardé son sexe avec envie. Je n’avais pas encore retiré ma jupe. Je me suis soulevée, je me suis allongée et j’ai relevé ma jupe. Il s’est agenouillé entre mes cuisses. Il a soupiré de plaisir en me voyant caresser ma chatte avec mes doigts. J’ai ouvert avec mes doigts les grandes lèvres, il a branlé sa queue. Il a lâché son foutre tout de suite. Il s’est excusé en disant que je l’excitais trop, qu’il n’avait pas pu se contenir à la vision de mes doigts sur ma chatte. J’ai écarté les cuisses. Il a glissé un doigt, m’a limé ainsi.
J’ai fait semblant de jouir.
Avant de partir, il a aspiré le bout de mes seins dans sa bouche. Toujours le même plaisir qui faisait frissonner mon corps entier quand il suçait ainsi mes tétons. Je n’ai rien dit.
à suivre demain...
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