Tuesday, January 31, 2006

A lire / 1

Le livre unique.
Le sexe par Duras.
Une merveille.

Monday, January 30, 2006

Au fil des lectures




Au fil des lectures,
en attendant de nouvelles écritures,
Ann Arois donnera de temps en temps quelques idées d'érotiques littératures...

Friday, January 27, 2006

Wednesday, January 25, 2006

Leur bouche

La bouche de C. est sensuelle. Elle glisse le long de ma nuque, lèvres douces et épaisses. La bouche de C. s’ouvre sur le lobe de mon oreille, le suce et le mord, puis descend dans mon cou, embrasse, lèche, emporte ma peau sous le glissement de ses lèvres. La bouche de C. fait frissonner mon corps. La bouche de C. lèche aussi entre mes seins. Les mains empoignent les seins, la langue bouge et va et vient dans le pli entre les deux seins.

La bouche de P. est humide. La bouche de P. aime le bout de mes seins. La bouche de P. aime sucer mes tétons en les prenant à pleine bouche puis les soulève en resserant les lèvres. Le plaisir immense que me donne la bouche de P.

La bouche de M. est fine mais elle embrasse ma bouche comme aucune autre bouche. La bouche de M. s’ouvre, laisse s’échapper sa langue qui vient lècher la mienne dans ma propre bouche. Lorsque M. m’embrasse, sa bouche semble manger la mienne. La bouche de M. est sexuelle. Elle fait l’amour à ma propre bouche, l’enlace, la fouille, la pénètre. M. bande toujours dès ce moment d’enlacement de nos bouches. La bouche de M. ouvre ses lèvres pour ouvrir les lèvres de ma chatte, sortir sa langue pour chercher la petite langue dure entre les petites lèvres de ma chatte. La bouche de M. vient chercher la mouille de ma chatte et l’emporte dans la vague de sa salive. La langue pénètre, s’enfonce, bouge, lèche. La bouche de M. reste entrouverte et immobile et c’est alors moi qui bouge. Je fais frotter ma chatte de bas en haut contre la bouche de M. La langue bouge en même temps. Les cris qui sortent de ma propre bouche. Le plaisir.

Regarder leur bouche quand ils parlent.
Regarder les lèvres qui bougent.
Appeler leur bouche de mes yeux.
La bouche du plaisir.
Le plaisir de leur bouche.

Sunday, January 22, 2006

Saturday, January 21, 2006

Friday, January 20, 2006

Pause

Photographie de Yva Richard

Thursday, January 19, 2006

Pause

Yva Richard "Femme à la combinaison", 1930

Wednesday, January 18, 2006

Pause

photographie de Yva Richard

Tuesday, January 17, 2006

Le temps de l'écriture




Voici venu le temps de l'écriture.
Ann Arois retourne à son bureau prendre sa plume.
Quelques photos coquines du début du siècle seront mises en lignes durant ce temps d'attente...

Monday, January 16, 2006

Journal pornographique (18/18)

Je lui offre le "Journal pornographique". Je lui demande de le lire à haute voix. Il s'arrête, sourit, me dit qu'il bande.
L'attente de son désir, sans cesse.



"Qu'est ce qu'aimer un homme ? Qu'il soit là, et faire l'amour, rêver, et il revient, il fait l'amour. Tout n'est qu'attente." (Annie Ernaux, in "Se perdre")

Sunday, January 15, 2006

Journal pornographique (17/18)

Il n'aime rien tant que je l'embrasse à pleine bouche, après avoir sucé sa queue, puis remettre dans ma bouche son sexe, quand il a eu le goût de sa queue dans sa propre bouche.

J'aime lorsqu'il m'embrasse après avoir léché ma chatte. Le goût de ma mouille dans sa bouche et dans la mienne.

J'aime qu'il me tienne les seins, les touche lorsqu'il me baise en levrette ou lorsqu'il m'encule. Rien ne m'excite plus. Je crie de plaisir lorsqu'il me suce le lobe de l'oreille, son corps sur moi, sa queue dans ma chatte.

Une nuit.
Je dors. Il regarde mes fesses, les caresse, se branle. Il vient sur moi. Je me réveille. Je sens sa queue dure contre mes fesses. Je reste à plat ventre. J'écarte mes cuisses. Il fouille ma chatte de ses doigts, me pénètre. L'excitation sans mesure chez moi de me sentir prise. Le plaisir de remonter mon cul pour qu'il me lime encore.

Si j'aime qu'il me baise par derrière, c'est que j'ai besoin de sentir ses mains me tenir fermement les hanches. Besoin qu'il me tienne pour que je lui appartienne.

Saturday, January 14, 2006

Journal pornographique (16/18)

De plus en plus, il aime me lècher la chatte au bord du lit. Moi sur le dos, les jambes relevées, lui à genoux, au sol. Les pieds sur ses épaules, il écarte les lèvres de ma chatte, lèche, suce le clitoris gonflé et trempé de mouille, entre sa langue comme il entre son sexe. Il aime que j'appuie sa tête sur mon sexe, que je lui ordonne de me lècher, que je force ses gestes. Alors, l'impossibilité de jouir pour moi. Je ne peux profiter de mon plaisir et me laisser aller à ne penser qu'à moi. L'envie chez moi qu'il me lèche à grands coups de langue, qu'il domine mon plaisir.

Il suce le pouce de mon pied comme il sucerait une queue. Je lui dis et cela l'excite. Il suce comme un Dieu. Il aime lorsque je lui dis qu'il suce très bien. J'aime l'imaginer baiser avec un homme.

J'aime les poils de son torse. Le voir torse nu en jean et ceinture me fait mouiller immédiatement.

Il ne dit jamais "j'ai envie de toi". Il dit "j'ai envie de faire ceci ou cela avec toi".

Lorsqu'il s'allonge près de moi après m'avoir baisé, j'aime regarder sa queue humide, large et longue.

Deux ans après le premier soir.
Il sait si j'ai envie d'être pénétrée doucement ou si j'ai besoin d'être pénétrée en un seul coup de queue. Il me lime de plus en plus profondémént et de plus en plus fortement. Il sait que j'aime m'accrocher aux barreaux du lit tandis qu'il me martèle. Il aime mes gémissements sous ses coups de reins. Je jouis. Il me baise alors encore plus fort. M'entendre crier ainsi le fait gicler dorénavant.

Friday, January 13, 2006

Journal pornographique (15/18)

Un dimanche soir chez moi. Fin d'après-midi.
Lui assis sur le canapé, jambes repliées et cuisses écartées. Moi, à genoux sur le sol, je suce sa queue. Il pose ses pieds sur mes épaules. Puis, il vient derrière moi, me fait relever, me baise debout, moi penchée en avant, debout.

Autre dimanche après-midi chez moi.
Sur le canapé, il me sodomise. La douleur est grande. Je lui demande d'arrêter. Il me dit dans l'oreille qu'il va rendre sa queue moins grosse et que tout ira bien. L'excitation et la peur de la douleur mélangées. J'accepte quelquefois de me faire sodomiser sans en avoir envie. Le mécontentement chez lui lorsqu'un jour je lui avoue.

Le début où je parle. Où je lui dis que je ne jouis jamais, que mes seuls orgasmes viennent de mes doigts ou des siens, ou de la sodomie. Le sentiment avec lui que chaque préliminaire est forcé. Il se plaint souvent que je ne me laisse pas aller à être nue debout devant lui et le laisser me regarder.

Un soir, chez moi.
Je le laisse venir avec moi sous la douche. Il me caresse les seins, les fesses, la chatte. Queue bandée. Je le branle sous l'eau qui coule. Je pose un pied sur le bord de la baignoire, me penche. Il me sodomise, se servant du gel douche pour m'ouvrir. Les mains sur mes hanches, debout, il me martèle de coups de reins. Queue très raide. Frissons dans le dos, mais sensation de brûlure aussi. Je le supplie de se faire venir. Rien ne l'excite autant que lorsque je lui dis cela. Dans l'accélération de ses coups de queue, le jet de son sperme.

Un autre soir.
Il embrasse mes fesses, les écarte et lèche mon anus.
Le plaisir immédiat.


Thursday, January 12, 2006

Journal pornographique (14/18)

Chez lui. Fin d'après-midi.
La première fois où lui et moi sommes tendres. Première fois où il caresse mon corps. Lui sur moi, il me baise longtemps. Il m'embrasse tandis qu'il me lime doucement. Puis derrière moi, sa queue qui me pénètre lentement. Première fois aussi où j'éjacule sur sa queue pendant qu'il me lime. L'excitation décuplée pour lui. Sensation nouvelle. Je sens véritablement ma mouille couler en un jet. son obsession permanente ensuite de revivre cette sensation d'être arrosé.

Il est de plus en plus ferme dans ses gestes, aime de plus en plus ordonner. Si dans les premiers temps, il se laissait sucer, yeux fermés, aujourd'hui, il aime de plus en plus observer le spectacle de ma bouche allant et venant sur sa bite. Il aime s'asseoir sur le dossier en métal du lit et me regarder être à quatre pattes devant lui, suçant sa queue à hauteur ainsi de ma bouche, en empoignant mes cheveux.

J'aime lècher la paume de ma main en fixant son regard, puis prendre sa queue dans ma paume pour la branler avec ma mail mouillée. Depuis quelques temps, il me demande de cracher sur sa queue lorsque je le suce. Je le branle avec la salive dégoulinante sur sa queue. Il aime aussi cracher dans ma bouche lorsqu'il m'embrasse. Il me demande de cracher dans sa bouche. Je n'aime ni l'un ni l'autre. Il est si excité qu'il me tient le visage et écrase ma bouche avec la sienne, écrasant ma langue avec la sienne.

Wednesday, January 11, 2006

Journal pornographique (13/18)

Chez moi. Plusieurs fois.
Il aime que nous sortions du lit et me baiser en levrette, moi à genoux sur le fauteuil et lui debout derrière moi.

J'aime garder bas, porte-jaretelles, chaussures, soutien-gorge lorsqu'il me baise. Le jeu. Le fantasme de la femme mûre mi-bourgeoise, mi-pute baisée par un homme jeune. Une excitation sans pareil chez lui.

Il aime me déshabiller. Je n'aime pas cela. Je le laisse très rarement faire. Il se plaint régulièrement de cela reconnaissant dans le même temps que je suis la femme la plus sexuellement libérée qu'il ait rencontré.

Suite de deux jours chez lui.
Sur ma suggestion, il me pénétre la chatte après que je me sois introduit un gode. L'excitation très forte chez lui de sentir les vibrations du gode sur sa queue. Douleur chez moi mélangée au plaisir de son excitation. Le lendemain, nous varions la séance. Il me sodomise tout en pénétrant ma chatte avec le gode.

Tuesday, January 10, 2006

Journal pornographique (12/18)

Un samedi soir de juillet. Abbaye de Jumièges.
Le parc est ouvert exceptionnellement la nuit. Fantasme chez moi depuis toujours d'être prise en levrette debout contre un arbre, à la nuit tombée. Il me prend ainsi, mais ne bande pas assez pour me baiser suffisamment longtemps. Il craint d'être surpris.

Week-end fin avril. Fin d'après-midi dans un hôtel.
Nous trouvons la position qui convient à la pénétration sans douleur. Le buste couché, les jambes repliés sous mes fesses, il peut m'enculer avec douceur et profondeur. Je sens toute la longueur de sa queue rentrer dans moi, son sexe serré dans mon trou.

Chez lui, en août.
Il me sodomise chaque fin d'après-midi durant la semaine que je passe avec lui. Me pénétrer devient de plus en plus facile au fil des jours. La douleur est inexistante. Sa queue me lime longuement et le plaisir est immense.

Souvent, nous utilisons un gel pour les gays. Un gel qui rend en effet la pénétration plus facile mais me brûle lorsqu'il m'encule trop longtemps lors de certaines de nos séances.

Début de soirée chez lui en été.
Il est occupé. Rien ne m'excite autant que de l'exciter quand il fait autre chose. Je lui dis dans l'oreille que j'ai envie qu'il m'encule. Il bande presque aussitôt. Il m'emmène sur le lit et me sodomise avec vigueur. Frissons le long du dos. Je crie de plaisir. Nous revenons à nos occupations précédentes. Je lui murmure une demi-heure après que j'ai encore envie de lui dans la même position. Rien ne l'excite plus que de me sodomiser. Nous retournons sur le lit.

Monday, January 09, 2006

Journal pornographique (11/18)

Un soir devant un film pornographique, chez lui.
Il me baise en levrette sur son canapé en cuir, puis debout contre la table.

Chez lui. Sur le canapé.
Je m'accroupis et m'empale sur sa queue raide et dressée en me tenant au dossier du canapé. IL tient mes fesses dans ses mains et dirige ainsi les mouvements de sa queue. Je n'ai jamais aimé qu'un homme me laisse bouger seule sur sa queue. Je n'aime pas qu'un homme soit totalement passif, sauf lorsque je caresse ma chatte en me frottant les lèvres, à cheval sur sa cuisse. Mais je n'aspire qu'à l'exciter en mouillant sa cuisse.

Deux fois encore cette même position dans son lit.

Plusieurs fois.
Il me branle la chatte et me fait jouir. Les seules fois où je jouis réellement. J'aime qu'il me caresse la chatte et me fasse jouir. Je guide ses doigts avec les miens. Mais souvent, il me branle mal. Il attend que je jouisse et plus je sens son attente, plus je suis dans l'imposibilité de jouir. Alors je me fais jouir avec mes propres doigts et le drap. Jamais directement avec les doigts lorsque ce sont les miens. Besoin d'imaginer que ce n'est pas moi qui me fait jouir. J'utilise le drap pour faire jouir mon sexe.

Plusieurs fois encore.
Il me regarde me branler, avec les doigts et le drap, avec un gode aussi. Il se branle en me regardant.

Deux fois.
Moi, les jambes écartées, je me branle. Lui, entre mes cuisses, à genoux, il éjacule sur ma chatte lorsque je me fais jouir.

Sunday, January 08, 2006

Merci Jeff :)

J'espère que la suite du journal et les autres textes à venir vous plairont aussi...

Pause dimanche

Saturday, January 07, 2006

Journal pornographique (10/18)

Il est fétichiste des pieds et des jambes. Il aime me caresser les jambes lorsqu'il me baise, lui sur moi, mes jambes sur ses épaules. Il embrasse ainsi mes pieds, les lèche. Il aime regarder mes pieds tendus lorsqu'il me baise en levrette. Il photographie mes jambes. Il me demande de porter un vernis noir sur les ongles de mes pieds. Il aime que je branle sa queue avec mes pieds. Plusieurs variantes qui me plaisent : il me tient par les chevilles les jambes totalement écartées, ou encore, mes jambes repliées, les genoux sur mes seins, mes pieds posés en appui sur son torse. Pénétration profonde. Plaisir immense.

Il se laisse de plus en plus aller avec moi à ses fantasmes les plus secrets jusque là. Je lui demande s'il aimerait que je le baise. Il dit oui. Il se laisse branler à quatre pattes dans le lit. Il a les reins cambrés, gémit de plaisir pendant que je rentre un doigt, puis deux, dans son cul, et le lime ainsi. Je simule derrière lui des coups de reins qui secouent ainsi son corps. Il est très excité, sa queue est raide, je la branle en même temps. Il jouit dans ma main. Il accepte que nous échangions les rôles. Il dit que c'est moi qui aime cela.

Friday, January 06, 2006

Journal pornographique (9/18)

Certains midis où je le rejoins pour déjeuner avec lui.
Il est encore au lit, se caresse. Je l'embrasse et le suce longuement. Une autre fois, avant de partir, allongés sur mon lit, après avoir déjeuné, il est sur moi, m'embrasse. Désir qu'il me pénètre. Besoin. Il dégrafe juste son jean, écarte ma culotte et me pénètre. Il me lime juste un peu puis retire son sexe.

Plusieurs matins.
Je caresse sa queue alors qu'il dort encore. Elle se relève sous la pression de mes doigts. Je descends sous les draps et le suce. Il se réveille. Il aime remonter ses jambes, écarter ses cuisses pour me donner ses couilles à lécher. Sa queue mouille. Il gémit lorsque je lèche par petits coups de langue son anus.

Un soir d'été.
Il accepte de me baiser après m'avoir menotté les poignets à la tête du lit en métal. Il accepte mon fétichisme mais cela ne l'excite pas.

Thursday, January 05, 2006

Journal pornographique (8/18)

La première fois qu'il me sodomise.
Un fantasme chez lui réalisé jusqu'ici une seule fois. Il est très doué. Il applique le gel avec douceur. Il ouvre mon trou avec un doigt puis deux. Il entre doucement sa queue. Je lui demande de ne pas me limer tout de suite. Je le retiens car j'ai peur de la douleur et je sais qu'il ne rêve que d'une chose : me sodomiser sans préparation. Je sens sa queue dure et grosse dans mon cul. Je le sens serré. Il commence à me limer doucement. Mon corps se détend et lâche prise. Il encule comme un Dieu. Son excitation est décuplée, il ne voudrait pas cesser de me limer s'il le pouvait mais je ne lui autorise pas cela. Sa queue grossit et je crains encore trop la douleur à cette époque. Aucun homme ne m'avait sodomisé aussi longtemps auparavant. Petit à petit, le plaisir dans la douleur. Le plaisir extrême lorsqu'il accélère ses coups de reins et décharge. Les frissons le long de mon dos. Je jouis lorsqu'il m'encule. Je ne jouis pas lorsqu'il me baise la chatte.

Week-end à la mer. Le soir à l'hôtel. Souvenir du papier peint à fleurs d'une chambre classique. Souvenird'avoir croisé les voisins de chambre. Mes cris saccadés qu'ils devaient entendre lorsqu'il me sodomise. Pleine lumière dans la chambre. Moi au bord du lit, cul relevé, buste couché sur le lit. Pas de gel. Il me sodomise facilement. Etonnement de nous deux. L'envie très forte chez moi en fait ce soir là d'être sodomisée. Souvenir d'un plaisir immense.

Sur la route du retour.
Nous nous arrêtons dans un petit chemin. Je le suce longuement et le fais jouir dans ma bouche. Je refuse qu'il me baise en levrette contre la voiture, ne parvenant pas à surmonter ma peur d'être surprise par des promeneurs.

Une nuit chez moi.
Il me sodomise sans préparation et sans retenue. Je hurle. La douleur immense mélangée à l'excitation de le voir si excité. La douleur gagnante. Il arrête. Je suis en pleurs. Il me demande pardon.

Wednesday, January 04, 2006

Journal pornographique (7/18)

"Baise-moi comme une chienne", "baise-moi comme une pute", "graimpe-moi", sont les phrases que j'aime lui dire lorsqu'il est en moi. Je sais que je l'excite ainsi. Dire les mots pour que ses coups de queue soient plus violents.

Puis "bourre-moi", "fais toi venir", "gicle dans moi". Des mots qui m'excitent, moi.

J'aime lorsqu'il me bourre de plus en plus fort. D'année en année, la force de ses coups de reins prend de l'ampleur et m'amène petit à petit à la jouissance.

Lorsqu'il se fait venir, l'accélération des mouvements de sa queue est une des choses qui m'excite le plus. Il éjacule en deux ou trois derniers coups de reins. Plus le temps avancera dans notre relation, puis il criera en jouissant. L'entendre puisque je ne le vois pas, est un moment d'intense satisfaction pour moi.

Tuesday, January 03, 2006

Journal pornographique (6/18)

Il accepte que je l'emmène vers un plaisir inavoué chez lui. Je suis l'initiatrice du lâcher-prise. Il se laisse aller à m'insulter lorsqu'il me baise. Il se laisse aller à me dire qu'il a envie que je le baise. Il se laisse aller à être lui-même et m'apprend à découvrir ce que je suis moi-même. Il baise comme un étalon, n'a aucun tabou. Je domine son sexe, je l'utilise, mais je me laisse aller à être ce que j'aime. Me faire baiser comme une chienne soumise tandis que je le domine par l'excitation que je suscite en lui.

Très souvent, il aime s'asseoir à cheval sur moi posant ses couilles sur ma bouche. Il aime que je lui lèche ses couilles ainsi. Il se branle en même temps. Il aime s'arrêter et me demande de regarder sa queue dure et relevée. J'appuie avec ma langue entre ses couilles, je les lèche à grands coups de langue, je les prends chacune à leur tour dans ma bouche. Je lèche sa queue. Il éjacule sur mon visage. Ce sont les premières fois où il crie en jouissant. Son sperme épais coulant sur ma bouche, mes joues.

Les premiers temps où nous sommes ensemble, il ne me lèche presque jamais la chatte. Il n'a aucune sensualité, il est tout à ce qu'il est, un être sexuel. J'aime le contraste entre son calme d'intellectuel le jour, et sa sexualité presque animale la nuit. Il ne dit jamais un mot grossier et écrit comme un universitaire, mais me traite de "salope" ou de "pute" la nuit lorsqu'il me baise. L'excitation totale pour moi de connaitre de lui ce qu'il y a de plus intime et de plus secret. L'excitation pour lui de me soumettre autant au désir de sa queue, et de me baiser dans des positions où je suis soumise tandis que l'ensemble des gens que je cotoie voit chez moi l'image d'une femme dominatrice.

Monday, January 02, 2006

Journal pornographique (5/18)

Lorsque nous nous excitons mutuellement, téléviseur ou radio allumés dans la pièce, il se contorsionne pour éteindre le poste ou le récepteur avec la télécommande avant que nous ne commencions à baiser. Il n'aime pas que son esprit se déconcentre de sa queue.
Quelquefois, il aime me baiser en regardant un film pornographique. Queue encore plus dure.
Il aime entendre le bruit de son sexe dans le mien. Il me le fait remarquer à chaque fois que je mouille beaucoup. Il dit "écoutes le bruit", cela l'excite. Il aime que sa queue doit trempée de ma mouille.
Plusieurs fois. Il me baise en levrette, en se mettant d'abord debout puis en fléchissant les genoux. Il me grimpe. Je me sens chienne et il sait que j'aime ça.
Il me baise à même le sol de la chambre, à quatre pattes.
Une autre fois, sur ma demande, il me baise debout, derrière moi, contre la table. Je dois garder mes chaussures à talons afin que notre hauteur soit commune. Il dit oui à chacune de mes demandes.