C’était il y a longtemps.
Il a dit être bibliothécaire. Je lui ai dit être costumière.
Il m’a écrit quelques lignes. Je lui ai répondu. Il a voulu me parler. Je l’ai appelé. J’ai entendu sa voix. Il a avoué qui il était. Sa véritable identité. Son véritable métier. Il était célèbre. J’ai avoué qui j’étais. Il a voulu me voir. Je l’ai retrouvé. Je l’ai reconnu dans le café. Il a souri. C’était l’hiver. Il m’a emmené dans un autre endroit, au calme d’une terrasse chauffée. Il a simplement dit que je lui plaisais, que l’on pourrait se voir, qu’il n’était pas libre, que je ne l’étais pas non plus, que nous pourrions simplement explorer le plaisir ensemble. Tout cela s’est passé en quelques heures.
Quelques jours après, il est venu chez moi. Un soir. Tard. Il a bu un thé. Il a redit qu’il n’était pas libre mais qu’il avait son jardin secret. Il répétait que je lui plaisais. Je lui ai dit aimer sa carrure. Il a demandé si j’avais envie de savoir ce que je ressentirais si j’étais dans ses bras. Je me suis levée. Il s’est approché. Il a posé ses mains autour de ma taille. J’ai posé les mains autour de son cou. Il m’a embrassé. Longtemps. Il avait les lèvres douces. J’étais emportée par sa langue. Il avait les mains brûlantes. Il caressait mon dos, sous le tissu. Il a ouvert mon gilet. Il regardait mes seins. Il répétait que j’étais belle. Il caressait mes seins ronds sous la dentelle.
Il s’est déshabillé. A ôté mon gilet. A dégrafé la dentelle. Il m’a emmené vers le lit. Je n’avais pas ôté ma jupe. Je lui ai dit que j’avais envie de lui. Je caressais son torse. Allongés, il a remonté ma jupe, a caressé ma chatte sous la dentelle. A ôté la dentelle. Je lui ai dit que j’avais envie de rester ainsi, avec jupe, bas et bottes. Il a souri. Est venu sur moi. Au creux de mes cuisses. Il suçait mes seins comme aucun homme ne l’avait fait jusqu’ici. Je passais ma main dans ses cheveux. Il a caressé ma chatte, a mordillé un téton en entrant un doigt. J’ai cru que j’allais jouir tout de suite. J’ai gémi. Il est entré en moi. En une seule fois. Son sexe dur glissant dans le mien. J’ai crié de plaisir. J’ai enserré sa taille avec mes jambes. Mes bottes contre son dos. Mes bas contre sa taille. Je m’aggripais à lui, les mains raidies sur ses épaules. Il a ralenti le rythme de sa queue. Il m’a regardé, embrassé puis a dit qu’on allait remonter ensemble. Il a repris ses coups de reins avec plus d’ampleur en me regardant encore. J’ai senti ses gouttes de sueur sur mes seins. J’ai joui dans un gémissement long et fort. J’ai joui à n’en plus finir. Des secondes comme une éternité de plaisir. Il a joui.
à suivre demain….
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