Durant les périodes où je vécus seule, je me caressais souvent le soir dans mon lit. Quelquefois, aussi, le matin. Dans l’un des appartements où je vécus, j’entendais le couple de l’appartement du dessus faire l’amour . Cela m’excitait profondément. Je ne pouvais m’empêcher de me caresser intensément, au rythme de la montée de ses cris à elle.
Durant cette période sans amant, l’envie intenable d’être pénétrée me pris. Je ne parvenais plus à lutter contre cette envie d’être remplie d’un membre dur et large.
L’idée me vint en épluchant des légumes. Je pris une courgette, que j’épluchais, puis sculptais grossièrement de la forme d’un sexe d’homme. J’enfilais un préservatif et me pénétrais. Le besoin irrésistible de sentir mes lèvres serrer ce qui me remplissait était trop fort pour que seuls mes doigts suffisent. L’envie était si grande que je jouis très vite.
Mon premier gode était destiné à mon propre plaisir et à celui de mon amant. Un jeu qui nous permettait de varier les expériences ensemble. Je préférais la plupart du temps à la pénétration avec le gode frotter mon clitoris avec l’objet vibrant. J’achetais plus tard un gode réaliste. Voir cette forme de sexe d’homme dans ma main et l’asservir à mon plaisir m’excitait énormément. Cela excitait aussi mon partenaire de me pénétrer avec celui-ci, avant de le retirer pour prendre sa place. L’excitation aussi pour lui que je me serve de ce sexe en latex devant lui. Son excitation de me regarder me faire jouir avec un autre sexe que le sien. Imaginer lui et moi que c’est un autre homme.
1 comment:
Quelle joie devez vous éprouver de savoir que la lecture de vos textes provoque une vive émotion chez certains d'entre nous ?
Merci en tout cas, continuez, c'est très bien.
Surtout la "main"...
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