Je ne me caresse jamais avec les doigts.
Je crois me souvenir que c’est à l’âge de quatorze ans que je me suis caressée pour la première fois. Déjà à cette époque, c’est le contact d’un tissu sur mon clitoris, entre mes lèvres ouvertes qui déclenchait mon plaisir.
Je m’allongeais à plat ventre sur le couvre-lit en fausse fourrure du lit de mes parents. La sensation était douce mais elle était plus intense encore lorsqu’un jour je découvris ce qui me fit vraiment jouir pour la première fois. Je prenais un oreiller, et le posais sous mon ventre. Les lèvres ouvertes, je frottais mon clitoris sur le coin de la taie d’oreiller ce qui me fit jouir. Une vague de plaisir me traversa le corps. Une sensation dont je me souviens encore.
Plus tard, je trouvais une autre façon de jouir. Je me souviens précisément du jour où j’ai utilisé ce nouveau moyen. J’étais debout derrière le bar du salon de notre grande maison. Mes premières pensées érotiques où je m’imaginais avec un homme viennent de l’Almanach Vermot que mon père recevait chaque année en cadeau de Nouvel An. Je me souviens particulièrement d’un dessin qui montrait une femme nue aux seins pointus qui s’enfermait avec son professeur de biologie dans une salle de la faculté. Le doyen de l’université tapait à la porte et la jeune femme répondait qu’elle révisait ses cours d’éducation sexuelle. Un souvenir dont la teneur érotique me surprend aujourd’hui mais qui fut source de nombreux moments de jouissance pour moi. Debout, j’otais ma culotte, la prenait dans ma main puis la passait sur les lèvres de mon sexe entrouvert.
Puis ce furent quelques lignes de L’étranger de Camus et plusieurs pages de J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian qui suscitèrent ma jouissance solitaire. Dans mon lit, je caressais avec le drap mon sexe ouvert en lisant les pages cornées.
Je crois me souvenir que c’est à l’âge de quatorze ans que je me suis caressée pour la première fois. Déjà à cette époque, c’est le contact d’un tissu sur mon clitoris, entre mes lèvres ouvertes qui déclenchait mon plaisir.
Je m’allongeais à plat ventre sur le couvre-lit en fausse fourrure du lit de mes parents. La sensation était douce mais elle était plus intense encore lorsqu’un jour je découvris ce qui me fit vraiment jouir pour la première fois. Je prenais un oreiller, et le posais sous mon ventre. Les lèvres ouvertes, je frottais mon clitoris sur le coin de la taie d’oreiller ce qui me fit jouir. Une vague de plaisir me traversa le corps. Une sensation dont je me souviens encore.
Plus tard, je trouvais une autre façon de jouir. Je me souviens précisément du jour où j’ai utilisé ce nouveau moyen. J’étais debout derrière le bar du salon de notre grande maison. Mes premières pensées érotiques où je m’imaginais avec un homme viennent de l’Almanach Vermot que mon père recevait chaque année en cadeau de Nouvel An. Je me souviens particulièrement d’un dessin qui montrait une femme nue aux seins pointus qui s’enfermait avec son professeur de biologie dans une salle de la faculté. Le doyen de l’université tapait à la porte et la jeune femme répondait qu’elle révisait ses cours d’éducation sexuelle. Un souvenir dont la teneur érotique me surprend aujourd’hui mais qui fut source de nombreux moments de jouissance pour moi. Debout, j’otais ma culotte, la prenait dans ma main puis la passait sur les lèvres de mon sexe entrouvert.
Puis ce furent quelques lignes de L’étranger de Camus et plusieurs pages de J’irai cracher sur vos tombes de Boris Vian qui suscitèrent ma jouissance solitaire. Dans mon lit, je caressais avec le drap mon sexe ouvert en lisant les pages cornées.
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