La première fois qu'il me sodomise.
Un fantasme chez lui réalisé jusqu'ici une seule fois. Il est très doué. Il applique le gel avec douceur. Il ouvre mon trou avec un doigt puis deux. Il entre doucement sa queue. Je lui demande de ne pas me limer tout de suite. Je le retiens car j'ai peur de la douleur et je sais qu'il ne rêve que d'une chose : me sodomiser sans préparation. Je sens sa queue dure et grosse dans mon cul. Je le sens serré. Il commence à me limer doucement. Mon corps se détend et lâche prise. Il encule comme un Dieu. Son excitation est décuplée, il ne voudrait pas cesser de me limer s'il le pouvait mais je ne lui autorise pas cela. Sa queue grossit et je crains encore trop la douleur à cette époque. Aucun homme ne m'avait sodomisé aussi longtemps auparavant. Petit à petit, le plaisir dans la douleur. Le plaisir extrême lorsqu'il accélère ses coups de reins et décharge. Les frissons le long de mon dos. Je jouis lorsqu'il m'encule. Je ne jouis pas lorsqu'il me baise la chatte.
Week-end à la mer. Le soir à l'hôtel. Souvenir du papier peint à fleurs d'une chambre classique. Souvenird'avoir croisé les voisins de chambre. Mes cris saccadés qu'ils devaient entendre lorsqu'il me sodomise. Pleine lumière dans la chambre. Moi au bord du lit, cul relevé, buste couché sur le lit. Pas de gel. Il me sodomise facilement. Etonnement de nous deux. L'envie très forte chez moi en fait ce soir là d'être sodomisée. Souvenir d'un plaisir immense.
Sur la route du retour.
Nous nous arrêtons dans un petit chemin. Je le suce longuement et le fais jouir dans ma bouche. Je refuse qu'il me baise en levrette contre la voiture, ne parvenant pas à surmonter ma peur d'être surprise par des promeneurs.
Une nuit chez moi.
Il me sodomise sans préparation et sans retenue. Je hurle. La douleur immense mélangée à l'excitation de le voir si excité. La douleur gagnante. Il arrête. Je suis en pleurs. Il me demande pardon.
Un fantasme chez lui réalisé jusqu'ici une seule fois. Il est très doué. Il applique le gel avec douceur. Il ouvre mon trou avec un doigt puis deux. Il entre doucement sa queue. Je lui demande de ne pas me limer tout de suite. Je le retiens car j'ai peur de la douleur et je sais qu'il ne rêve que d'une chose : me sodomiser sans préparation. Je sens sa queue dure et grosse dans mon cul. Je le sens serré. Il commence à me limer doucement. Mon corps se détend et lâche prise. Il encule comme un Dieu. Son excitation est décuplée, il ne voudrait pas cesser de me limer s'il le pouvait mais je ne lui autorise pas cela. Sa queue grossit et je crains encore trop la douleur à cette époque. Aucun homme ne m'avait sodomisé aussi longtemps auparavant. Petit à petit, le plaisir dans la douleur. Le plaisir extrême lorsqu'il accélère ses coups de reins et décharge. Les frissons le long de mon dos. Je jouis lorsqu'il m'encule. Je ne jouis pas lorsqu'il me baise la chatte.
Week-end à la mer. Le soir à l'hôtel. Souvenir du papier peint à fleurs d'une chambre classique. Souvenird'avoir croisé les voisins de chambre. Mes cris saccadés qu'ils devaient entendre lorsqu'il me sodomise. Pleine lumière dans la chambre. Moi au bord du lit, cul relevé, buste couché sur le lit. Pas de gel. Il me sodomise facilement. Etonnement de nous deux. L'envie très forte chez moi en fait ce soir là d'être sodomisée. Souvenir d'un plaisir immense.
Sur la route du retour.
Nous nous arrêtons dans un petit chemin. Je le suce longuement et le fais jouir dans ma bouche. Je refuse qu'il me baise en levrette contre la voiture, ne parvenant pas à surmonter ma peur d'être surprise par des promeneurs.
Une nuit chez moi.
Il me sodomise sans préparation et sans retenue. Je hurle. La douleur immense mélangée à l'excitation de le voir si excité. La douleur gagnante. Il arrête. Je suis en pleurs. Il me demande pardon.
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