Un samedi soir de juillet. Abbaye de Jumièges.
Le parc est ouvert exceptionnellement la nuit. Fantasme chez moi depuis toujours d'être prise en levrette debout contre un arbre, à la nuit tombée. Il me prend ainsi, mais ne bande pas assez pour me baiser suffisamment longtemps. Il craint d'être surpris.
Week-end fin avril. Fin d'après-midi dans un hôtel.
Nous trouvons la position qui convient à la pénétration sans douleur. Le buste couché, les jambes repliés sous mes fesses, il peut m'enculer avec douceur et profondeur. Je sens toute la longueur de sa queue rentrer dans moi, son sexe serré dans mon trou.
Chez lui, en août.
Il me sodomise chaque fin d'après-midi durant la semaine que je passe avec lui. Me pénétrer devient de plus en plus facile au fil des jours. La douleur est inexistante. Sa queue me lime longuement et le plaisir est immense.
Début de soirée chez lui en été.
Il est occupé. Rien ne m'excite autant que de l'exciter quand il fait autre chose. Je lui dis dans l'oreille que j'ai envie qu'il m'encule. Il bande presque aussitôt. Il m'emmène sur le lit et me sodomise avec vigueur. Frissons le long du dos. Je crie de plaisir. Nous revenons à nos occupations précédentes. Je lui murmure une demi-heure après que j'ai encore envie de lui dans la même position. Rien ne l'excite plus que de me sodomiser. Nous retournons sur le lit.
Le parc est ouvert exceptionnellement la nuit. Fantasme chez moi depuis toujours d'être prise en levrette debout contre un arbre, à la nuit tombée. Il me prend ainsi, mais ne bande pas assez pour me baiser suffisamment longtemps. Il craint d'être surpris.
Week-end fin avril. Fin d'après-midi dans un hôtel.
Nous trouvons la position qui convient à la pénétration sans douleur. Le buste couché, les jambes repliés sous mes fesses, il peut m'enculer avec douceur et profondeur. Je sens toute la longueur de sa queue rentrer dans moi, son sexe serré dans mon trou.
Chez lui, en août.
Il me sodomise chaque fin d'après-midi durant la semaine que je passe avec lui. Me pénétrer devient de plus en plus facile au fil des jours. La douleur est inexistante. Sa queue me lime longuement et le plaisir est immense.
Souvent, nous utilisons un gel pour les gays. Un gel qui rend en effet la pénétration plus facile mais me brûle lorsqu'il m'encule trop longtemps lors de certaines de nos séances.
Début de soirée chez lui en été.
Il est occupé. Rien ne m'excite autant que de l'exciter quand il fait autre chose. Je lui dis dans l'oreille que j'ai envie qu'il m'encule. Il bande presque aussitôt. Il m'emmène sur le lit et me sodomise avec vigueur. Frissons le long du dos. Je crie de plaisir. Nous revenons à nos occupations précédentes. Je lui murmure une demi-heure après que j'ai encore envie de lui dans la même position. Rien ne l'excite plus que de me sodomiser. Nous retournons sur le lit.
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