Vous êtes sous le soleil.
Je suis toujours sous la pluie.
Le déluge même.
Je travaille beaucoup.
Et puis ce soir comme de nombreux soirs, je dis "non, dès la semaine prochaine, je dois moins travailler".
Ces soirs là, je prends soin de moi.
Je prends du temps pour moi.
Je prends du temps dans ma salle de bains.
Je prends plaisir à mettre de nouveaux draps dans mon lit.
J'écoute Radio Classique. Je lis.
Je loue un film. Un film qui parle de famille, d'amour, de rupture, de désir.
Et puis dans la pénombre de la nuit qui commence, nue dans les draps, je me caresse.
Je me fais jouir en rêvant à des amants doux, sensuels et remplis de désir.
Je laisse la fenêtre entrouverte.
En espérant que personne n'entende mes gémissements de plaisir.
Et puis je reste ainsi dans les draps frais, le vent frais de la nuit qui glisse dans l'entrebâillement de la fenêtre ouverte.
Si je ne dors pas, j'écoute des émissions enregistrées à France Culture.
Des émissions où des femmes à la voix douce comme celle de Françoise Lebrun me détendent.
Et je m'endors
Lovée dans des bras imaginaires.
Je suis toujours sous la pluie.
Le déluge même.
Je travaille beaucoup.
Et puis ce soir comme de nombreux soirs, je dis "non, dès la semaine prochaine, je dois moins travailler".
Ces soirs là, je prends soin de moi.
Je prends du temps pour moi.
Je prends du temps dans ma salle de bains.
Je prends plaisir à mettre de nouveaux draps dans mon lit.
J'écoute Radio Classique. Je lis.
Je loue un film. Un film qui parle de famille, d'amour, de rupture, de désir.
Et puis dans la pénombre de la nuit qui commence, nue dans les draps, je me caresse.
Je me fais jouir en rêvant à des amants doux, sensuels et remplis de désir.
Je laisse la fenêtre entrouverte.
En espérant que personne n'entende mes gémissements de plaisir.
Et puis je reste ainsi dans les draps frais, le vent frais de la nuit qui glisse dans l'entrebâillement de la fenêtre ouverte.
Si je ne dors pas, j'écoute des émissions enregistrées à France Culture.
Des émissions où des femmes à la voix douce comme celle de Françoise Lebrun me détendent.
Et je m'endors
Lovée dans des bras imaginaires.
Vous êtes dans votre lit.
Je ne sais pas si vous pensez à moi.
Je pense à vous.
Dans des draps loin de vous.
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