Je la voudrais ronde, large, fessue avec des seins lourds et des lèvres charnues sur de belles dents blanches. Je voudrais qu'elle ait des yeux rieurs qui sachent regarder au fond des miens avec un zeste de curiosité. Je voudrais que ce regard provoque et qu'elle sache passer devant moi avec la conscience qu'elle a mon regard rivé à ses fesses. Qu'elle porte une jupe qui danse autour d'elle ou un blue-jeans qui l'empaquette aussi serré que le papier alu de la plaquette de beurre. Je serais sûr alors de savoir comment la faire fondre. Il faut que je puisse l'imaginer penchée en avant et cambrée. Et le lui dire sans la choquer. Et le lui demander sans essuyer un refus. Alors seulement l'échange entre nous pourrais commencer, un échange de mots, de phrases, de regards qui estomperait le monde autour de nous jusqu'à le faire disparaître. Une bulle à l'intérieur de laquelle pourrait commencer la vraie vie, chaude et d'une impudeur sans limite... jusqu'à l'anéantissement de l'orgasme qui parfois fait revenir avec fracas la nudité des choses ordinaires que le fantasme n'enrobe plus comme une doudoune ouatée et chaude.
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Je la voudrais ronde, large, fessue avec des seins lourds et des lèvres charnues sur de belles dents blanches. Je voudrais qu'elle ait des yeux rieurs qui sachent regarder au fond des miens avec un zeste de curiosité. Je voudrais que ce regard provoque et qu'elle sache passer devant moi avec la conscience qu'elle a mon regard rivé à ses fesses. Qu'elle porte une jupe qui danse autour d'elle ou un blue-jeans qui l'empaquette aussi serré que le papier alu de la plaquette de beurre. Je serais sûr alors de savoir comment la faire fondre. Il faut que je puisse l'imaginer penchée en avant et cambrée. Et le lui dire sans la choquer. Et le lui demander sans essuyer un refus. Alors seulement l'échange entre nous pourrais commencer, un échange de mots, de phrases, de regards qui estomperait le monde autour de nous jusqu'à le faire disparaître. Une bulle à l'intérieur de laquelle pourrait commencer la vraie vie, chaude et d'une impudeur sans limite... jusqu'à l'anéantissement de l'orgasme qui parfois fait revenir avec fracas la nudité des choses ordinaires que le fantasme n'enrobe plus comme une doudoune ouatée et chaude.
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