Friday, January 13, 2006

Journal pornographique (15/18)

Un dimanche soir chez moi. Fin d'après-midi.
Lui assis sur le canapé, jambes repliées et cuisses écartées. Moi, à genoux sur le sol, je suce sa queue. Il pose ses pieds sur mes épaules. Puis, il vient derrière moi, me fait relever, me baise debout, moi penchée en avant, debout.

Autre dimanche après-midi chez moi.
Sur le canapé, il me sodomise. La douleur est grande. Je lui demande d'arrêter. Il me dit dans l'oreille qu'il va rendre sa queue moins grosse et que tout ira bien. L'excitation et la peur de la douleur mélangées. J'accepte quelquefois de me faire sodomiser sans en avoir envie. Le mécontentement chez lui lorsqu'un jour je lui avoue.

Le début où je parle. Où je lui dis que je ne jouis jamais, que mes seuls orgasmes viennent de mes doigts ou des siens, ou de la sodomie. Le sentiment avec lui que chaque préliminaire est forcé. Il se plaint souvent que je ne me laisse pas aller à être nue debout devant lui et le laisser me regarder.

Un soir, chez moi.
Je le laisse venir avec moi sous la douche. Il me caresse les seins, les fesses, la chatte. Queue bandée. Je le branle sous l'eau qui coule. Je pose un pied sur le bord de la baignoire, me penche. Il me sodomise, se servant du gel douche pour m'ouvrir. Les mains sur mes hanches, debout, il me martèle de coups de reins. Queue très raide. Frissons dans le dos, mais sensation de brûlure aussi. Je le supplie de se faire venir. Rien ne l'excite autant que lorsque je lui dis cela. Dans l'accélération de ses coups de queue, le jet de son sperme.

Un autre soir.
Il embrasse mes fesses, les écarte et lèche mon anus.
Le plaisir immédiat.


1 comment:

Anonymous said...

curieux...
on crorait entendre mon amour